Gilgemyn Recycling opte pour le durable et le local avec 8 Scania 460R Super

La région de Courtrai est une véritable ruche économique. De nombreuses entreprises comptent sur des prestataires locaux particulièrement réputés pour leur efficacité, comme Gilgemyn Recycling, qui utilise désormais 8 Scania flambant neufs pour collecter, entre autres, du papier et des cartons destinés au recyclage. « Mon père et mon oncle ont lancé l’entreprise dans les années ‘60, lorsque l’industrie du lin a commencé à décliner. Aujourd’hui, la 3^e génération - représentée par mon fils Maxim - est prête à reprendre le flambeau », explique Wim Gilgemyn, dirigeant de l’entreprise. « Nous sommes toujours actifs dans le traitement des papiers et cartons usagés, mais nous collectons aussi d’autres types de déchets auprès de nos clients B2B. Le bois, le plastique et les déchets généraux sont ensuite envoyés vers d’autres entreprises de traitement locales et familiales. En tant qu’acteurs locaux, nous formons ainsi un front uni avec une approche globale. »

Chaque année, Gilgemyn Recycling traite 100.000 tonnes de déchets de papier et de carton, grâce à une flotte impressionnante. « Nous possédons 11 camions et environ 1000 conteneurs et compacteurs. Avec la commande de 8 nouveaux Scania 460R Super, nous renouvelons une grande partie de notre flotte, jusqu’ici principalement composée de véhicules d’une autre marque. Le très bon contact avec Scania Kuurne a joué un rôle important dans cette décision. De plus, le garage est tout proche, jouit d’une excellente réputation et applique un service professionnel, » précise Wim Gilgemyn.

Le recyclage est aussi un secteur à forte intensité capitalistique, avec un accent marqué sur la durabilité. Une faible consommation ainsi qu’un TCO optimal et maîtrisé sont dès lors essentiels pour Gilgemyn Recycling, qui a opté pour un contrat de maintenance étendu. « La faible consommation des camions Scania, surtout avec la chaîne cinématique Super, est un véritable atout. Nous avons pu le constater lors de tests, mais c’est aussi le retour d’expérience d’entreprises avec lesquelles nous collaborons. Le consensus général est que Scania construit les modèles les plus économes, et avec le Super, la consommation serait de 2 à 3 litres inférieure à celle de la concurrence, ce qui représente une économie significative. Cela ressort également du test annuel Green Truck. »

Gilgemyn Recycling est bien ancré dans le tissu économique de Courtrai et ses environs et a donc choisi des entreprises locales pour la superstructure de ses nouveaux véhicules. « Kerkhove à Tielt a monté sur 4 des 8 châssis livrés par Scania un système à crochet AJK, tandis que les 4 autres ont été dotés d’un système à crochet signé Appelmans à Gullegem. Nous entretenons de bonnes relations avec ces fournisseurs, et nous pouvons toujours compter sur eux pour une aide rapide, tout comme sur Scania Kuurne », explique Wim Gilgemyn. Pour dorloter les chauffeurs de l’entreprise, il a également opté pour un équipement très complet départ usine : « Les Scania attirent les chauffeurs et un bon équipement, avec un réfrigérateur et d’autres gadgets qui en théorie peuvent sembler superflus pour des missions journalières, les rend heureux. Et puisque nos chauffeurs, et nos camions, représentent notre image de marque, nous voulons offrir le meilleur. La cabine couchette est également bénéfique pour le confort des chauffeurs et accroît la valeur de revente des camions après cinq ans, à la fin du contrat. »

A l’échéance du contrat portant sur les nouveaux véhicules, Gilgemyn Recycling pourrait explorer d’autres options. « Pour la prochaine génération, nous envisageons des poids lourds électriques à batterie. Nous opérons principalement dans un rayon de 50 kilomètres autour de Gullegem, avec 8 à 10 transports de conteneurs par jour, donc nous pourrions déjà théoriquement passer à l’électrique. Le TCO des camions électriques n’est pas encore équivalent à celui des camions diesel économes, mais avec un peu de bonne volonté, on pourrait trouver des solutions. Pour les grandes entreprises, cette question est de plus en plus cruciale dans le cadre de la directive CSRD, avec un ‘Scope 3’ qui inclut les émissions de notre activité de transport », conclut Wim Gilgemyn.